Après avoir laissé quelques jours de repos à Ezyl', je décida de l'emmener voir le vétérinaire. J'arriva donc dans l'écurie réservée au chevaux sauvages, et je remarqua qu'elle avait été bien remplie. Une dizaine de chevaux si trouvaient désormais, et ce ne fut qu'as la fin des boxs que je vus enfin mon petit poulain. Il était réfugié au fond de son box, et me regardait venir, l'air méfiant mais curieux. J'entra tranquille, et tendit la main vers lui, tenant une carotte. Il recula un peu plus, et se cogna à l'abreuvoir. Je pouffa, et continua de lui tendre la main, sans bouger. Au bout d'un long moment, il daigna enfin à s'approcher de moi, et happa la carotte. Je le laissa faire, évitant de bouger. Puis je tendis la main vers sa tête baissée au sol, et passa ma main dans ses crins touffus. Tenant un licol dans mon autre main, je recula et retira la longe du licol, puis je me saisi de celle-ci et avança de nouveau vers le palomino. Il ne me regarda même pas, continuant d'essayer de mâcher sa carotte. Je passa à nouveau ma main dans ses crins, descendit vers sa jugulaire, puis, avec attrapa le bout de la longe et la passa autour de son encolure. Il le remarqua et tenta de se dégager, mais je le retins. Prisonnier, il me regarda de ses grands yeux sombres. Je souris, et lui présenta le licol taille poulains. Il mit son museau dedans, sans savoir ce qui allait se passer. Je passa rapidement la boucle derrière ses oreilles et boucla le licol, puis je lâcha le poulain. Il recula fortement, secouant la tête. Comme n nouveau jeu, il tenta de le mordre en tournant sur lui même comme un chient. J'attendis qu'il se lasse, puis je m'approcha de lui, lui tendit un bout de pomme et en profita pour attacher la longe sur son licol. Je ne pris dans ma main que l’extrémité de la longe, pour le laisser s'habituer, puis, enfin près, je me saisi d'une petite brosse douce, et la passa doucement sur son corps, tout en lui parlant doucement. Je démêla ses crins à la brosse, puis, armée d'un ciseau, je lui tailla la crinière en brosse, et coupa le bout de sa queue. Puis je l'emmena au vétérinaire, en lui montrant comment marcher, sans qu'il me tire ou que j'eu à le traîner. Il me suivis, et je l'emmena vers le van qui nous emmènerais à la clinique.
-------------------------------------> RETOUR
Enfin de retour du vétérinaire, je le descendit rapidement du van. Il se précipita et manqua de tomber. Je ne pus m’empêcher de rigoler, et je le rattrapa. Puis Je le ramena dans son box et détacha le licol, puis je lui donna une carotte et je partie, le laissant se remettre de ses émotions.