Arrivée...

J'avais aidée Kate à remettre le haras en place. Après avoir fait venir quelques chevaux dressés, elle m'avait demandé de partir pour le Texas, et que je choisisse un cheval sauvage, un mustang. J'avais donc acheté mon billet d'avion, et je m'envola pour l'Amérique. Le voyage dura cinq bonnes heures.
Descendant de mon avion, j'arriva enfin au Texas. Quel soulagement. Etant anglaise, je n'eu aucun mal a comprendre les paroles de celui qui m’emmènerait au ranch, même si la langue anglaise et américaine n'est pas tout à fait pareille. Je monta dans la voiture, et le petit tout terrain parti rapidement. Une bonne heure plus tard, avec mon walkman dans les oreilles, j'arriva dans le ranch. Il était petit, contenant juste une écurie de 10 boxs, un petit manège, et un cottage. J'alla à l'accueil du cottage, et demanda une chambre. On m’attribua la chambre 2, la plus grande.Je m'installa, posa mon sac dans l'étagère. Puis je l'ouvris, et pris un sac à dos, un lasso, une gourde, un sandwich, du pain dur et une couverture. Puis j'alla voir la secrétaire.


Je partie dans l'écurie, et regarda les chevaux. Il y en avait six, deux étalons et quatre juments? Je choisie une jument, étant décidée à prendre un étalon, il serait attiré par l'odeur de la jument. Je pris une jument grise, très belle, qui se nommait Ébène. J'alla dans la sellerie, je la brossa rapidement, la selle, puis monta dessus. Je parti au trot sur les chemins. Après deux bonnes heures de cheval, j'arriva dans des plaines magnifiques. Je me mis sur une colline, et aperçu de loin un troupeau galopant. Je le regarda galoper, tranquillement. Puis mon regard s'attarda sur une jument qui venait de tomber, et qui visiblement n'arrivait pas à se relever. Je lança ma jument au galop, et alla voir la jument. A deux bon mètres de la jument, je descendit, et, tenant ma jument, j'avança vers elle doucement. Elle me regarda, ayant visiblement très peur. Elle avait l'air jeune, et j'aperçu entre ses jambes une petite chose dorée recroqueviller. Un poulain. Il avait l'air jeune, deux ou trois jours. J'ouvris mon sac, pris mon lasso et le pain. Je tendit la main vers la jument, en lui tendant le pain. Elle l'attrapa, et le mangea. Je vis que j'avais gagné sa confiance. Je souris, et pris le lasso, puis lui passa doucement autour du cou. Elle se rembarra, et recula la tête. Je vis qu'elle avait une sale blessure à la jambe. Je pris mon portable et appela le ranch. Je leurs dit que j'avais trouvé une jument blanche, blessée et avec un poulain. Ils arrivèrent. Il me passa un sédatif puissant, censé endormir la jument. Je m'agenouilla auprès, d'elle, et réussi à piquer son encolure. La jument se débattit, puis finie par sombrer dans le sommeil. Nous la couchâmes, puis on examina sa patte. Elle avait une vilaine fracture du genou. On ne pouvait pas la sauvée. Ils l'euthanasière, puis emportèrent son corps dans le camion. J'alla partir, quand je remarqua le poulain qui s'était levé, et debout à côté de moi, regardait sa maman partir. Une larme coula sur ma joue, et je passa doucement le lasso autour du cou du poulain; Il se débattit, mais je serra rapidement la corde et ramena le poulain vers moi. Je le monta dans le camion, avec Ébène. Ils avait mis la jument dans le compartiment de devant. Je dessella Ébène, lui mis de l'eau, de la nourriture, et monta dans le camion. De retour au ranch, je descendit le poulain, le mis dans un box avec une poulinière enceinte. Il put ainsi boire le lait de la jument. Mon retour à Paris était prévu pour le lendemain. J'alla ranger mes affaires, me mettre en pyjama et alla me coucher.
Le lendemain, je monta le poulain dans un petit camion, lui mit du lait avec du miel dans un biberon, et fit mon trajet avec lui. Je décida de le nommer Just Dance on the Sadness. Jus Dance, et le suffixe, On the Sadness. En nom d'élevage, je l’appellerais Sadness. Deux bonnes heures plus tard, nous arrivâmes à l'avion. On le mit dans un box spécial, et je demanda a rester avec lui. On accepta, non sans hésitation. Cinq heures plus tard, nous descendîmes de l'avion et nous fûmes arrivés au haras.

J'ai adoré ton résumé franchement ! Bravo ! C'était trés émouvant, et j'ai hâte de voir la tête de ton poulain !

Merci beaucoup
Il seras palomino, ou isabel, je sais pas encore, mais je pense palomino